Le premier a soutenu que «sans interdits, il n’y a pas de liberté». Un formule inédite pour nous et que nous avons trouvée très pertinente.
Le second n’était pas de cet avis et en restait à « ma liberté, c’est de faire tout ce qui m’est matériellement possible».
Ensuite, leur controverse s’est plutôt enlisée. Pour tout dire, les arguments échangés n’étaient pas plus médiocres que ceux doctement imprimés dans les tribunes libres de tel ou tel faiseur d’opinion autorisé.
Doit-on conclure que la société de l’immédiat s’infantilise ?
2 commentaires:
ou que certains enfants de 12 ou 13 ans sont aussi mûrs que certains adultes,ce qui finalement revient (presque) au même. C'est peut-être pour cela que la "jeunesse" fait si peur à certains !
La société de l'immédiat fait des ravages et il est bon que la jeune génération (celle de tes petits enfants ) y réfléchisse déjà même si le thème de la liberté mériterait d'autres développements
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