vendredi 14 octobre 2011

La ruée vers l’or

En relisant le billet précédent, je me souviens de l’émission littéraire « la bibliothèque Médicis » dans laquelle Alfred GROSSER a cité Henry de Montherland :
« On aimait l’or parce qu’il donnait le pouvoir et qu’avec le pouvoir on faisait de grandes choses. Maintenant on aime le pouvoir parce qu’il donne l’or et qu’avec cet or on en fait de petites. »
Le Maître de Santiago (1947), III, 1

Quelle leçon de style !

Aucun commentaire: